Viens acheter sa baguette...

Noémie regarda les noms des magasins et vit soudain écrit en haut d'une grande porte en lettres d'or:

Ollivanders, fabriquand de baguettes magiques depuis l'an 382 avant J.C.

Elle entra. Le magasin était plutôt bien éclarer pour n'avoir seulement comme luière celle du jour qui passait par les fenêtres assez sale pour tout dire (de plus il n'y avait pas de soleil) et d'une petite lampe qui était poser sur un bureau au milieu de la salle. A par le grand vide au milieu de la salle à par le bureau, La salle était remplit d'étagères qui elles étaient remplit de baguettes. Noémie avança vers le bureau et fit sonné une petite sonette qui y était dessus. Elle remarqua qu'une baguette était mise en valeur. C'était peu être la baguette du vendeur. à côté, il y avait mettre. Noémie regarda les étagères en attendant le vendeur qui devait sans doute s'appeler Ollivanders comme il était marquer au-dessus de la ported'entrée. A moins que ce ne soit qu'un surnom.

Nombre de messages : 12 Age : 69 Date d'inscription : 20/07/2007

Ollivander était assis sur l'éternel tabouret de son arrière boutique. Devant lui, sur l'atelier, étaient éparpillés des copeaux de bois en tous sens. Sur les étagères qui le surplombaient, on pouvait voir se suivre des dizaines de pots de verres et de boîtes sur lesquels des étiquettes indiquaient : Ventricule de Dragon, Plume de Phénix, Crin de Licorne, Poil de Loup Garou,... etc... Derrière le vieil homme, le long du mur, étaient disposés des dizaines de caisses en bois sur lesquelles d'autres étiquettes indiquaient : Bois de Hêtre, Bois de Saule, Bois de Chêne, Bois de Rose,...etc...

Ollivander, ses lunettes branlant sur le bout de son nez, sculptait, à la lumière d'une chandelle, une baguette.
Son visage radieux de par le plaisir qu'il pouvait ressentir à l'idée de la baguette à laquelle il allait donner vie, était néanmoins crispé par la minutie qu'il mettait à son oeuvre.
"Bois de Frêne..." pouvait-on l'entendre murmurer.
"18,5 cm..." ajouta-t-il en mesurant la longueur de la future baguette avec le mètre ruban qu'il avait toujours dans la poche intérieure de son par-dessus.
"et..."
Le vieil homme s'était levé et regardait maintenant les pots de verre et les boites de carton devant lui, cherchant visiblement l'ingrédient qu'il incorporerait dans sa baguette.
Tout à coup, la clochette de la porte d'entrée de la boutique retentit. Ollivander tourna machinalement la tête vers la source du tintillement, sans voir pour autant qui venait d'entrer. Il posa l'ébauche de baguette soigneusement sur l'atelier avant de se diriger vers le comptoir de sa boutique.

C'est arrivé au comptoir qu'il vit devant lui une jeune fille brune. A en juger par sa taille, elle n'était probablement pas là pour changer de baguette. Si tant est qu'elle en ait déjà eu une, elle n'aurait eu le temps de déjà la casser. Il s'agissait donc d'un premier achat.
Il se pencha par-dessus son comptoir et salua la jeune fille.
"Bienvenue chez Ollivander, Mademoiselle.
J'imagine que vous allez rentrer à Poudlard."

Noémie regarda un vieille homme venir. Il se présenta et lui demanda si elle rentrait à Poudlard.

"Oui," répondit Noémie.

Elle regarda encore une fois la baguette poser sur le comptoir. Elle l'a trouvait belle. Puis elle retourna son regard vers l'homme. Puis elle regarda la salle. Le magasin était plutôt bien éclarer pour n'avoir seulement comme luière celle du jour qui passait par les fenêtres assez sale pour tout dire (de plus il n'y avait pas de soleil) et d'une petite lampe qui était poser sur un bureau au milieu de la salle. A par le grand vide au milieu de la salle à par le bureau, La salle était remplit d'étagères qui elles étaient remplit de baguettes. Enfin, elle retourna son regard vers Ollivanders.

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Le fabricant de baguette approcha de la jeune fille et la fixa du regard. Ses yeux perçants étaient plongés dans ceux de sa cliente. Tout à coup, il demanda, sans détourner son regard des pupilles de la jeune fille.
"De quelle main écrivez-vous?"
Puis il sortit de sa poche un mètre ruban avec des marques en argent et commença à mesurer sa jeune cliente sous tout les angles. Il mesura le bras, de l'épaule jusqu'au bout des doigts, puis du poignet jusqu'au coude, puis la hauteur de l'épaule jusqu'aux pieds, puis du genou à l'aisselle, le tour de tête,...
Le vieil homme partit prendre des boîtes sur les étagères pendant que le mètre ruban continuait à récolter les dernières mesures nécessaires, telles que l'écartement des narines.
"Qui sont vos parents?" demanda-t-il en revenant près de la jeune fille.
Ollivander posa les boîtes sur le comptoir, toutes les unes à côté des autres puis il renroula le mètre ruban avant de le remettre dans la poche intérieure de son veston poussièreux.

Noémie regarda l'homme dans les yeux mais quand elle allait détourner son regard, celui-ci sortit un mêtre de sa poche et lui demanda de quelle main elle écrivait.

-J'écrie de la main gauche... dit-elle.

Puis elle regarda le vendeur partir entre les étagères et revenir les bras chargé de boite avec à l'interrieur, bien sûr, des baguettes. Il posa les boîtes sur le comptoir et demanda à la jeune fille qui était ses parents.

-Heu... Et bien ça m'étonnerais que vous les connaissiez puisqu'il n'avait pas acheter leurs baguette ici... Ils sont né en france...

Puis elle déposa son regard sur les boîte avant de, encore une fois, le reposer sur le vieille homme.

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