Reviens a Poudlard aprés avoir échapper aux mangemorts

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Angélique ouvrait les grilles du portail, avec une certaine émotion la jeune femme revenait sur les lieux de son enfance, elle portait une longue robe noir, envelopper dans une cape, une échappe au couleur des Gryffondor entouraient son cou pour la protéger du froid. Elle portait de longue botte qui lui monter jusqu’aux genoux, dissimuler sous sa cape, son bras droit était envelopper dans un bandage. Respirant doucement elle était revenue a Poudlard après avoir échappée au mangemort, tremblante elle ce laissa tombée au bort du lac, brulante de fièvre elle ferma les yeux, caressant l’alliance qu’elle portait à la main elle ne put s’empêcher de penser à Severus.

-Je suis revenue.

Sortant un mouchoir elle le plongea dans l’eau froide du lac et le porta à son front, le contacte froid lui fit un bien grandiose, toussant elle s’adossa à l’un des arbres, les yeux fermer elle repensa à Albus.

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Un soleil de plomb baignait cette journée estivale. L'air brûlait tous les imprudents qui avaient la folie de lui présenter leur peau trop pâle. A Sainte- Mangouste, on avit connu un afflux de brûlures dont certaines ayant entraîné une perte partielle ou totale de pouvoirs magiques.

Mon propre épiderme n'aurait pas supporté cette chaleur non plus... Protégée par une fine cape de soie vert foncé, j'avance à grands pas vers le lourd portail du château. A ma grande surprise, les grilles sont ouvertes. Quelqu'un serait-il passé par là avant moi? L'impossibilité de transplanner en ces lieux réserve parfois son lot de surprises.

Mystère et boule de gomme. Le troisième étage m'attend, et avec lui, Sergeï Ivanov. Il est nouveau ici et doit être mis au courant des procédures de transferts de patients de l'infirmerie jusqu'à l'Hôpital en cas de besoin. Tout ceci ne prendra pas trop de temps, pour avoir été nommé à ce poste, il doit bien posséder un soupçon d'intelligence.

Le parc fait resurgir de bons souvenirs du passé, temps de l'insouciance et du bonheur total. Mes yeux se tournent naturellement vers ce Lac au bord duquel nous faisions les quatre-cents coups avec mes amis d'alors.

Soudain quelques mots glisent jusqu'à moi.

- Je suis revenue...

"Moi aussi" ne puis-je m'empêcher de penser en souriant de ce constat frisant le pléonasme. Mais un toussement conjugué la la faiblesse de la voix met en alerte mon sens de médicomage. Que ce passe-t-il par là-bas?

Quelques pas vers un vieux chêne et voilà que se tient une jeune femme en piteux état contre son tronc.

- Puis-je vous aider?